La terre cuite se trouve actuellement projeté au devant de la scène architecturale en raison des contraintes liées à l’environnemental. En matière de consommation d’énergie, par exemple : l’enjeu pour les décideurs – que ce soit les autorités, les promoteurs immobiliers, les maîtres d’ouvrages – consistent à atteindre un bon niveau de performance énergétique. L’isolation thermique demeure l’élément clé dans cette problématique lié à l’énergie. Grâce à l’innovation apportée par la filière terre cuite, l’application de matériau en terre cuite pour le revêtement de façade s’avère être de plus en plus adoptée dans les travaux de rénovation et même de construction neuve. 0% POLLUANT ET 100% BIO
0%polluant et 100% bio, les caractères environnementaux et les propriétés thermiques de la terre cuite restent tout simplement indéniables. Etant classé comme matériau inerte la terre cuite n’émet même pas une once de produits polluants ou chimiques. Aucun élément nuisible pour nous, les êtres humains, n’entre pas en aucun cas dans sa composition. Avec la même technique pour réaliser des poteries ou des sculptures, son obtention se fait par la cuisson de l’argile mélangé avec du sable. Ceci étant, un projet de développement durable trouve ainsi son expression de l’extraction de carrières naturelles au recyclage de la matière finale.
D’AUTRES RAISONS DE CHOISIR LA TERRE CUITE.
Force est de reconnaître que la terre cuite arrive aisément à réunir toutes les caractéristiques pour une construction écologique durable. A part le fait que ce matériau participe au confort de ces occupants, la terre cuite présente la particularité de résister aux gélives – ainsi que d’autres intempéries - comme au feu. En matière de coût d’entretien, la facture reste de loin salée dans la mesure où elle ne retient pas beaucoup les salissures sur les façades. Malgré cela, un minimum d’entretien – comme il est le cas des briques apparentes - permet de garder la beauté d’une façade en terre cuite.